Lariam

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DOD maintenant Yeux Lariam En Suicides United Press International 26 Février 2004 WASHINGTON - Le Pentagone a changé de cap mercredi et a déclaré au Congrès qu'il examinerait si un médicament anti-paludisme mis au point par l'armée pourrait être à l'origine des suicides, un mois après avoir affirmé le médicament ne pouvait pas être un facteur. Secrétaire adjoint à la Défense pour la santé des affaires Dr. William Winkenwerder Jr. dit un panneau House Armed Services Committee, il allait lancer une étude sur les effets secondaires de Lariam, pour inclure le suicide et les résultats neuropsychiatriques. Il a dit que le Pentagone allait nommer un groupe spécial pour aider à concevoir l'étude, mais a déclaré qu'il pourrait prendre des mois ou des années. responsables de la santé du Pentagone ont également déclaré qu'ils ne seraient plus utiliser Lariam en Irak parce que le risque de paludisme ne le justifie pas. Le Pentagone étudie les suicides en Irak et le Koweït lors de l'opération Iraqi Freedom. Winkenwerder dit 21 soldats de l'armée des unités affectées à l'opération ont suicidé. Chirurgien général de l'armée le lieutenant-général James B. Peake a dit au panel de l'armée enquête sur cinq morts en Irak comme suicides possibles, ainsi que six morts parmi les soldats en Irak qui sont retournés aux États-Unis, puis se sont suicidés. Interrogé sur l'enquête de suicide le mois dernier, porte-parole de l'armée Martha Rudd a déclaré que le Pentagone ne serait pas envisager de Lariam. Nous ne croyons qu'il existe un lien entre Lariam et le suicide, Rudd a dit. Il n'y a rien pour indiquer qui est un facteur. Quatre des 21 soldats qui ont commis le suicide en Irak ou au Koweït provenaient des unités qui ont eu Lariam, les responsables de la santé du Pentagone a déclaré mercredi. Un seul testé positif pour Lariam dans le sang, ils ont dit. Développé par l'Institut Walter Reed Army de la recherche, Lariam, connu génériquement comme la méfloquine, un médicament utilisé par des soldats en Irak pour prévenir le paludisme, ce qui est particulièrement préoccupant dans les mois chauds d'été. La Food and Drug Administration avertit que Lariam peut provoquer une psychose, l'agression, la paranoïa, la dépression et des pensées suicidaires. La FDA avertit également des rapports rares de suicide chez les utilisateurs Lariam, bien qu'il dit un lien n'a pas été établi. Le Pentagone a dit au Congrès dans le passé que les effets secondaires de Lariam ont pas été un problème dans l'armée. Winkenwerder a déclaré mercredi que les 21 suicides confirmés dans l'opération Iraqi Freedom signifie un taux de 15,8 suicides pour 100.000 soldats par an. Il a comparé cela à l'armée des taux de suicide compris entre 9,1 et 14,8 pour 100.000 dans l'armée entre 1995 et 2002. Bien que chaque suicide est une perte tragique, le taux de suicide pour les soldats déployés à l'OIF ne diffère pas sensiblement de la gamme récent suicide de l'Armée annuelle taux, at-il dit mercredi. Le 14 janvier, Winkenwerder dit 18 suicides de l'armée avaient été confirmés, dont il a dit signifiait un taux de 13,5 pour 100.000. Il a appelé ce une très légère augmentation au-dessus de suicides attendus et sur l'extrémité haute de ce que theyve vu dans le passé. Il a dit ensuite que l'armée voit généralement un taux de 10-11 suicides pour 100.000. Le Pentagone a dit qu'il ne compte pas les suicides chez les soldats qui ont servi en Irak, mais sont retournés aux États-Unis avant de se tuer. Après le retour de l'Irak, au moins deux soldats apparemment commis le suicide à l'hôpital Armys Walter Reed à Washington, depuis Juillet un autre suicide apparent a eu lieu le mois dernier près de Fort Campbell, des groupes Ky. Anciens ont dit qu'ils sont alarmés par la tendance. Je crains que l'armée est dans le déni et qu'ils rationalisent cela. En ce qui concerne, nous ne pouvons pas même confiance aux chiffres, Wayne Smith, conseiller la Vietnam Veterans of America Foundation, a dit UPI ce mois-ci. Steve Robinson, anciens combattants défendent avec le Golfe Centre national des ressources La guerre, dit un panneau Chambre le mois dernier qu'il était préoccupé par le péage mental de la guerre sur les troupes, et a demandé une enquête sur Lariam. L'armée ignore cette drogue effets secondaires connus, a déclaré Robinson. Dans certains cas, ils mentent aux membres de la famille et d'agir comme si elles sont déconcertés par les taux de suicide et de dépression élevés. En Octobre, le sénateur Dianne Feinstein, D-Calif. demandé au secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld à reconsidérer l'utilisation militarys du médicament. Compte tenu des préoccupations croissantes au sujet Lariam exprimées par les civils, les militaires et les experts médicaux au sujet de ses effets secondaires connus graves, je vous conseille vivement de réévaluer la politique (Défense départements) sur l'utilisation de Lariam, elle a écrit Rumsfeld. UPI a rapporté que des soldats impliqués dans une série de meurtres-suicides à Fort Bragg, N. C. à l'été 2002 avaient pris la drogue en Afghanistan. Le chirurgien général de l'armée a dépêché une équipe pour enquêter sur les décès. Leur rapport a blâmé les problèmes conjugaux et le stress du déploiement et a déclaré que Lariam était une cause probable pour l'ensemble du cluster de décès car tout le monde ne soupçonnait pas dans les homicides avait pris. L'équipe n'a pas examiné les médicaments rôle possible dans toute mort individuelle. Winkenwerder a déclaré au Congrès mercredi enquête n'a pas établi la méfloquine comme une cause dans des meurtres ou des suicides DoD. Il n'a pas dit si le Pentagone réexaminerait les décès Fort Bragg. Sound Off. Pourquoi pensez-vous que le Pentagone était si réticent à enquêter sur Lariam Rejoignez plus complètement la discussion. Copyright 2004 United Press International. Tous les droits sont réservés. Ce matériel ne peut être publié, diffusé, réécrit ou redistribué. Droit d'auteur 2015. Tous droits réservés. Ce matériel ne peut être publié, diffusé, réécrit ou redistribué.